Conclusion

Ces deux livres de raisons, bien différents l’un de l’autre, esquissent la diversité des informations que nous pouvons rencontrer à leur lecture. Si pour le premier l’acceptation et l’ascension sociale sont primordiaux, pour le second, une femme certes, le bonheur conjugual et la vie de famille sont au centre de son court récit.

L’étude des livres de raisons, bien qu’encore timide en France, révèle des pans importants du quotidiens des grandes familles locales, prestigieuses et plus modestes, qu’aucune autre source ne semble capable de fournir.

Perdus, enfouis, ignorés, oubliés,… ces « papiers » méritent que l’on s’y intéresse. Au détour d’un grenier, d’une vieille malle que le temps a patinée, certains écrits renferment de vrais trésors qu’il serait bon de conserver.